La programmation du théâtre Dunois est entièrement dédiée au jeune public. Avec plus d’une quinzaine de spectacles sur la saison 2016/2017, le théâtre propose des spectacles pluridisciplinaires, contemporains et offrant une double lecture permettant de partager un moment avec les enfants. Cette programmation a été pensée pour émouvoir, questionner et divertir. Avec une dimension d’éveil très présente, elle s’adresse à un large public de 2 ans à 13 ans et plus et saura forcément vous surprendre avec une sélection de qualité… Voici le programme de la saison 2016/2017 :
Straces – Dès 8 ans – Du 5 au 16 oct. 16
« Deux jeunes acteurs se lancent « à mains nues », skate aux pieds… À coup vigoureux de brosses anduites de peinture, ils ‘essaient » leur inspiration… »
La conférence des chiens – Dès 8 ans – Du 3 au 14 nov. 16
« Un enfant appelé A, comme le point de départ du langage, à l’image du début de toutes les choses, est recueilli par une meute de chiens. »
Wax – Dès 3 ans – Du 16 au 27 nov. 16
« Comment sortir du moule qui vous a donné forme ? Wax ! Traduisez « cire »… Ce corps malléable est à la fois matériau et sujet d’une comédie insolite. sur le plateau, Justine, maîtresse du jeu, s’affaire dans sa petite fabrique. »
Les insomnies – Dès 9ans – Du 29 nov. au 4 déc. 16
« Quatre figures éveillées font de la nuit leur poème. L’insomniaque ne peut pas dormir, la veilleuse ne veut pas dormir, l’artiste ne dort pas, le fugitif ne doit dormir. »
Alibi – Dès 6 ans – Du 7 au 18 déc. 16
« Imaginez que l’on sème quelques graines de haïku sur le sol. L’herbe tendre est tentante. Un homme vêtu d’un costume gris foule le gazon, attaché-case en main, il est pressé. »
Kamchatka – Dès 8 ans – Du 4 au 15 jan. 17
« Buenos Aire. Argentine. Mars 1976. Le coup d’État militaire et la répression vus à hauteur d’enfant. Il faut fuir. Harry, dix ans apprend l’art de la fugue.
Contre les bêtes – Dès 11 ans – Du 17 au 22 jan. 17
« Mais combien de bêtes ne servent à rien ? Prenez les lucioles qui s’éteignent une à une. Quel usage pour un être éclairé ? Il faudrait aimer la nuit, goûter la poésie d’un monde pas forcément rentable. »
La maison du grand-père… – Dès 3 ans – Du 25 janv. au 10 fév. 17
« Mais le grand-père ? Où est-il ? Faudra-t-il grimper sur le toit pour le retrouver ? C’est l’histoire d’un lien de tendresse profonde, d’une corde à linge que le temps n’érode pas. »
Minute papillon – Dès 8 ans – du 22 fév. au 5 mars 17
Théâtre, image, musique – En sortant de l’école, le chemin qui mène à la maison peut s’annoncer banal. Mais il peut mener aussi tout autour de la terre…
Filles et soie – Dès 5 ans – Du 8 au 19 mars 17
« Séduire, sourire, souffrir… ainsi font, font, font, trois petites marionnettes jusqu’au jour où elles découvrent une voie d’émancipation possible… »
Jamais Jamais ! – Dès 6 ans – Du 22 mars au 2 avr. 17
« Cinq personnages, adultes, reposent sur de vieux lits métalliques, dans un dortoir aux murs noirs. L’espace est propice au désir d’évasion. Quelques mots, une flopée d’images et les voilà enfuis au pays de l’imaginaire… »
La voyageuse – Dès 8 ans – Du 19 au 30 avr. 17
La voyageuse, c’est elle. Une femme, comédienne, mère et écrivain. Elle est assise. Une table au centre du plateau, un carnet dont les feuilles s’arrachent : c’est son voilier. »
Animalitas – Dès 3 ans – Du 2 au 7 mai 17
« Une chienne, Skubi, entre sur le plateau. Les bêtes ne s’admirent point. Elles sont pure présence… »
Nout – Dès 5 ans – Du 9 au 14 mai 17
« À l’intérieur du ventre de Nout, dame du Ciel et des Étoiles, le Soleil se réfugie chaque soir pour renaître plus vigoureux le matin. »
Les préjugés – Dès 13 ans – Du 16 au 23 mai 17
« Comment un garçon doit-il se comporter quand il est amoureux ? Et une fille ? Que doit-elle dire ou faire ? »
La théorie du crocodile – Dès 5 ans – Du 31 mai au 11 juin 17
« Entendez-vous les grognements de votre crocodile intérieur ? Il se meut en chacun de nous tel un danseur presque invisible, toujours à l’affût. »
Au coeur de la forêt – Dès 4 ans – Du 14 au 25 juin 17
« De la vaisselle dans l’évier, des jupons à racommoder, combien de larmes à ravaler ? »